À l’heure où fleurissent sur internet, les images de rues désertes et de villes aux allures fantômes, voilà un petit article sur un des nombreux villages abandonnés d’Aragon, Otin.
Lire la suiteOtin, village abandonné d’Aragon
ailleurs dans le monde
Trilogie aragonaise
Retour sur la trilogie Jaca-Agüero-Riglos, réalisée en ce début de mois pour les guides culturels pyrénéens.
La citadelle et la cathédrale de Jaca.
Et les amandiers, toujours plus fleuris à Riglos !
Un air de printemps en Aragon
Très belle journée de guidage en Aragon hier, effectuée pour les Guides culturels pyrénéens.
Les amandiers étaient en fleurs sous un soleil radieux.
Les Mallos de Riglos et Agüerro, toujours aussi somptueux, et l’énigmatique église Santiago de Agüerro fascinante de mystères…
Un jour en Aragon
Belle journée aragonaise hier, effectuée pour les guides culturels pyrénéens.
Étape à Jaca avec visite du musée diocésain, de la cathédrale et de la ville, puis petit tour aux Mallos de Riglos, avec les amandiers en fleur !
Semana Santa, un voyage dans le temps
Un petit tour du côté Sud des Pyrénées, afin de voir comment les Aragonais célèbrent la Semana Santa.
Un temps de ferveur et dévotion pour les nombreuses confréries de pénitents. Un voyage dans le temps pour moi !
Au rythme des processions, la Semaine Sainte trouve son apogée dans la célébration du vendredi saint. Ce jour-là, l’impression est à la fois visuelle avec les pénitents, olfactive avec l’encens, et sonore.
Les tambours et grosses caisses donnent le ton, lancinant et solennel. Leurs échos se répercutent à travers toute la ville, faisant trembler les murs. L’étroitesse de certaines rues donne à nos corps un air de caisse de résonance, qui perdure longtemps dans le silence retrouvé de la nuit.
Et puis, une plainte monte dans le calme. Les trompettes vont se taire au soir du vendredi saint, laissant la place à la gravité des percussions.
Face à ces tenues de pénitents, où l’anonymat est préservé, un frisson parcourt l’échine. Seul les yeux sont visibles, aucun sentiment ne se laisse deviner, mais une impression de gravité -qui sied au moment- transparaît.
Quand les masques tombent, l’envers du décor se révèle. Certaines statues sont portées, exclusivement, par des femmes. 
La petite histoire 